1°/ Votre Perso :
Nom : Blomwood
Prénoms : Clarence, Thomas
Age : 21
Lieu de naissance : Oxford, Angleterre
2°/ Quand on creuse un peu
J’ai fait l’histoire à la première personne, si ça dérange, je pourrai changer, mais de toutes façons, ni mon rp ni le reste de la présentation ne seront comme ça ^.^
Histoire :
J’aurais pu choisir de me présenter à la troisième personne, et c’est ce que j’aurai du faire, comme tout le monde. Mais voilà, moi, Clarence, jeune anglais égaré aux Etat-Unis, j’ai choisi d’utiliser la première personne, pour me rendre compte que tout ça n’est pas qu’un stupide rêve. N’allez pas croire que je suis ici pour draguer. Si je suis aux Hampton, c’est parce que j’y ai trouvé un job, et si j’ai choisi New York, c’est parce que je voulais être le plus loin possible de mon pays natal.
Mon histoire est glauque, et c’est dommage, car je pense que si elle ne l’avait pas été, j’aurais pu être quelqu’un de bien qui aime sourire, qui aime séduire, qui aime embrasser à tout bout de champ, et se moquer du reste.
Je ne me moque pas du reste, mais je m’en suis moqué, et je le regrette.
La seule chose que j’aime à présent, c’est boire, et fumer. La cigarette… Je m’y suis mis il y a peu de temps, ça parait ringard, mais si je l’ai fait, c’était pour changer. Et parce qu’elle le faisait. A présent, mon seul but est de me détruire à petit feu, et de préférence, le faire seul.
Ne pensez pas que je suis une cible facile, parce que je suis méchant. Et je peux être beaucoup plus, car un cœur brisé souffre beaucoup, et un cœur brisé par sa propre faute est impossible à soigner.
Vous attendez mon histoire? La voilà. Pas besoin d’avoir pitié, ça ne vous servira à rien d’autre qu’à attirer mon mépris, la seule chose à laquelle je puisse vous servir, c’est à vous apporter un café.
Je suis né en Angleterre, près d’Oxford, et j’ai grandi là bas. Ma mère, Susan Carmen Blomwood, est un garce de première, mais elle m’aime, et c’est tout ce qui compte. Je ne vous raconterais donc pas comment elle s’est débrouillée pour faire virer un de mes rivaux pour la bourse de fin d’année, ni comment elle a toujours aimé torturé mon père.
Ce dernier, Arthur Charles Blomwood, est banquier. Dieu que c’est jouissif pour lui de se présenter comme banquier en chef de la petite banque d‘Oxford…
Je m’appelle Clarence, savant mélange de Charles et Carmen, selon mes parents. En réalité, c’est le prénom de mon grand-père, plein d’élégance et de classe, selon eux, et surtout impossible à abréger sans le rendre encore plus sordide, pour moi.
J’ai grandi dans ce village à la renommée mondiale, et je suis allé en cours. Comme tout le monde, je n’ai jamais été passionné par l’éducation, mais il s’est avéré par le truchement d’une immense machinerie destinée à gâcher ma vie de garçon paresseux, que j’étais intelligent. Je le suis toujours, d’ailleurs, mais disons que, comparé aux autres élèves, j’étais une tête.
Ma mère, convoquée chez le dirlo’, en a été ravie. Je me souviendrait toujours de ses longs ongles vernis de rouges tapotant avec application sur le bureau de chêne de Monsieur Chesterfield.
Et c’est ainsi qu’à commencé mon calvaire.
J’ai donc été forcé d’étudier, de faire des centaines de calculs durant toute ma scolarité. N’allez pas croire le contraire, je déteste les maths, mais les maths m’adorent, c’est ma fatalité. Donnez moi n’importe quelle opération, fraction, équation, je vous la résous de suite.
Mais passons sur le coté génial de ma personne, il ne vous apporterai rien : à 21, je suis déjà blasé.
Le début et la fin de ma vie ont commencés le même jour. J’étais à la bibliothèque d’Oxford, délicieux endroit, vraiment, surveillée par un dragon, comme en possède chacune des bibliothèques du monde entier. Penché sur Aristote, j’en soulignais des passages, lorsqu’un livre m’est tombé sur la tête. Tant que ça n’était pas le ciel, me direz vous, tout allait bien.
Mais ce livre lui appartenait à elle. Je ne me résoudrais pas à prononcer son nom, il est trop beau, trop rare, et il me fait souffrir. Quelle chose ridicule qu’est l’amour, n’est ce pas?
Au lieu de s’excuser, elle m’a frappé avec un autre livre, quelle tenait en main : « Dépêche toi de le ramasser, idiot. », furent ses premiers mots. La scène aurait pu être plus romantique, et j’aurais pu lui renvoyer ses livres au visage et lui dire de déguerpir, malheureusement, j’étais trop occupé à la regarder. Voir à quel point elle était belle. Et elle semblait déjà le savoir, pourtant, rien en elle ne semblait le présager. Aux yeux de quiconque, elle était banale, c’est elle qui me le dit plus tard. Loin de changer d’avis, j’en était plus que ravi: cela voulait dire qu’elle n’appartiendrait qu’à moi.
Et maintenant, elle est morte, voilà la fin de l’histoire. Elle est morte à cause de moi, parce qu’elle ne savait pas comment me quitter, et que je ne savais pas comment lui dire à quel point j’avais besoin d’elle.
Elle est morte si bêtement que c’est encore incroyable, je m’apprêtais à entendre sa voix.
Je ne vous dirais pas comment, ça ne regarde que moi.
Depuis combien de temps? Un an à présent.
Partir en Amérique, pour ce pseudo échange destinés à ceux qui veulent découvrir de nouveaux horizon. J’aurais pu aller en France, en Allemagne, en Espagne, mais j’ai choisi New York parce que c’était loin anonyme, et que le travail préserve de toute pensée.
Ici aussi, je me contente d’être intelligent, à la prochaine rentrée, j’entrerais sûrement à Yale, ou Harvard, qui sait? Je me sens vide, et je sais que sans doute je recommencerais à sourire, et à rire, et peut-être même à être heureux. Mais comment l’être vraiment lorsqu’on est sur d’avoir tout perdu?
Passions : Clarence aime la musique, en écouter, mais aussi en jouer. Pianiste à ses heures, il déteste néanmoins en faire en public. La musique qu’il écoute, c’est un peu de tout, il est capable de passer des heures à écouter le boléro de Ravel, puis ensuite passer à quelque chose de plus tendance, rock, rap ou encore métal.
Il adore aussi la lecture, dévore n’importe quel livre. Très doué en mathématiques, qu’il déteste pourtant, il passe son temps libre à lire, bien que ces temps ci, il préfère plutôt passer son temps libre à se noyer l’esprit.
Physique : Il est grand, brun, un peu maigre, et le teint très pâle, bien que bronzant facilement les jours d’été. Clarence possède de grands yeux noirs, et un sourire assez charmant, lorsqu’il daigne sourire, bien entendu, chose rare. Son visage affiche la plupart du temps une expression neutre, voire un léger rictus.
Une chevelure noire épaisse complète le tableau, le jeune homme s’étant laissé pousser les cheveux ces derniers temps, ils lui arrivent sur le front.
On ne peux pas vraiment dire qu’il soit baraqué, mais il possède quelques muscles attrapés on ne sait ou, car Clarence n’est pas vraiment amateur de sport.
Style Vestimentaire : Chemises et jean, voire des tee-shirts, telle est la tenue vestimentaire habituellement utilisée par Clarence, qui met souvent des baskets, mais se fiche la plupart du temps de son look : il enfile ce qui lui tombe sur la main.
Caractère : Le jeune homme n’est pas très bavard et se confie rarement. On ne connaît pas beaucoup de choses sur lui, mais il s’en fiche royalement. Il passe son temps à repousser les autres, et peut s’avérer être assez désagréable, surtout lorsqu’il est énervé. Il a un caractère ambigu, est assez lunatique, mais passe aussi beaucoup de temps les yeux dans le vague.
Signe Particulier : Fume beaucoup, à toujours une cigarette à la main, ou du moins, la plupart du temps.
3°/ Vous :
Votre Prénom : Je suis obligé? lol
Age : 18
Où avez vous découvert le RPG ?Sur un top site
Votre niveau de RP : Bon
Avatar :Orlando Bloom
Code :EDIT' ADMIN
Lun 28 Mai - 23:47
